Le marché est dynamique, voire très dynamique, en Basse-Normandie. Les marchés principaux restent les marchés côtiers, ou très urbains à l’instar de Caen. Nous connaissons une tension sur certains biens qui a engendré leur raréfaction, même sur des secteurs considérés habituellement comme des marchés de report. Naturellement, les prix ont eu aussi tendance à augmenter.

Nous avons connu un véritable boom de la demande consécutive à la crise sanitaire, et surtout aux confinements qui se sont succédé. Nous avons vraiment assisté au passage à l’action de ceux qui élaboraient un projet immobilier depuis quelque temps mais n’osaient pas franchir le cap. L’afflux des grandes villes a été massif, notamment depuis Paris. Cela a fortement dynamisé le marché des villes de Granville et Honfleur notamment. En effet, ces villes ont été particulièrement recherchées par les actifs qui pouvaient se permettre de vivre en alternance entre Paris et la Normandie, ou qui ont tout simplement quitté Paris pour être à 100 % en télétravail.

Je leur dirais d’acheter le plus vite possible afin de capitaliser. La Basse-Normandie est un secteur attractif, il est donc très peu probable d’assister à une dévalorisation des biens.

Notre structure est une entreprise familiale créée il y a maintenant 50 ans par ma grand-mère. Elle fait partie d’un réseau de 24 agences spécialisées sur toutes les prestations immobilières, qui couvrent toute la région Normandie. Nous bénéficions d’un ancrage territorial très fort en Basse-Normandie, de Granville à Honfleur en passant par Caen. Nous intervenons autant dans les zones urbaines et rurales telles que Saint-Hilaire-du-Harcouët, que dans les zones touristiques comme Granville, particulièrement appréciées pour les résidences secondaires.