Nous sommes face à un marché dynamique. La demande est importante à Arles et il devient difficile de rentrer des mandats pour la satisfaire. Nous observons un léger ralentissement de notre activité en cette fin d’année, certainement dû au taux d’usure et à la hausse des taux d’intérêt. Concernant les prix de vente, ils ont tendance à se stabiliser après une hausse de 15 à 20 %.

Nous avons principalement affaire à des personnes en quête d’une résidence principale. À Arles, les acquéreurs ont, en moyenne, entre 40 et 50 ans et disposent d’un budget qui oscille entre 220 000 et 330 000 €. 80 % de nos clients sont des locaux, les 20 % restants viennent d’autres régions, essentiellement du nord de la France. Actuellement, les primo-accédants et les investisseurs sont peu présents sur le marché.

Nos clients plébiscitent le centre-ville arlésien. La demande est également en augmentation dans la première couronne depuis la crise sanitaire.

La demande est forte sur les appartements car la ville compte de nombreuses copropriétés. L’offre va d’ailleurs s’étoffer d’ici 2023 avec la commercialisation de programmes immobiliers neufs. Les acheteurs sont de plus en plus attentifs à l’état général du bâti et au montant des charges.

Nous avons réalisé deux très belles années et notre activité est en plein essor malgré le léger ralentissement du marché ressenti en cette fin d’année. Nous nous appuyons sur les nouveaux outils digitaux développés durant la crise sanitaire comme les visites virtuelles en 3D. Je suis optimiste pour l’avenir, car la demande ne faiblit pas dans notre ville.

Implantée depuis 2013 dans la ville, notre agence compte, à ce jour, 9 collaborateurs. Spécialisés dans la transaction et la location dans tout le pays d’Arles, nous avons à cœur d’apporter de conseils de qualité à nos clients et de les accompagner de A à Z.