C’est un marché dynamique où règne une forte tension immobilière. Depuis la crise sanitaire, la demande a explosé et nous faisons face à une pénurie de l’offre. Cela a entraîné une importante hausse des prix de l’immobilier, de l’ordre de 10 à 20 % sur deux ans. Les délais de vente ont également diminué et la plupart des biens se vendent sans négociation.

Nous avons essentiellement affaire à des personnes de plus de 40 ans, actives ou retraitées, en quête d’une résidence principale ou secondaire. Depuis la crise sanitaire, nous recevons en agence de nombreux Parisiens séduits par la qualité de vie de notre belle région. Les primo-accédants sont, quant à eux, peu nombreux, car leur capacité d’emprunt est affectée par l’inflation et la hausse des taux de crédit immobilier.  

Les acquéreurs plébiscitent le quartier Saint-Antoine. Ils apprécient sa situation au cœur des collines, ses belles vues sur la campagne avoisinante et ses commerces. Ils privilégient également la proximité du centre-ville islois, notamment près du Partage des Eaux.

De manière générale, une maison de 100 m² sur un terrain de 500 m² se négocie entre 350 000 et 400 000 €. Dans le secteur Saint-Antoine, il faut plutôt compter entre 600 000 et 800 000 €.

Nous sommes optimistes car, depuis le début de l’année, l’agence réalise de nombreuses transactions. Le marché reste ainsi dynamique malgré la hausse des taux de crédit immobilier qui pourrait atteindre 2 % à la fin de l’année.

Nous sommes une agence familiale implantée à L’Isle-sur-la-Sorgue depuis 1977 et depuis 2016 à Robion, dans le Luberon. Nous avons à cœur d’être proches de nos clients pour pouvoir les accompagner au mieux dans la réussite de leur projet immobilier.