Nous sommes face à un marché où règne une forte tension immobilière. Depuis la crise sanitaire, la demande immobilière est particulièrement forte et nous manquons de biens à vendre. Les prix de l’immobilier plantourian ont considérablement augmenté. Dans le même temps, les marges de négociation, auparavant autour de 10 %, se réduisent. Elles ne sont plus que d’environ 5 %, voire inexistantes.

Nous avons essentiellement affaire à une clientèle composée de cadres supérieurs, de chefs d’entreprise et de retraités. Ils disposent d’un budget compris entre 500 000 € et 3 000 000 € et ont peu recours à l’emprunt. Face à la hausse des prix et au durcissement des conditions de crédit, les primo-accédants sont peu nombreux sur le secteur.

Les acquéreurs privilégient les secteurs offrant de belles vues sur les collines environnantes. En bord de mer, la demande est importante à Sainte-Maxime.

Les acheteurs recherchent tout particulièrement une maison individuelle confortable en bord de mer avec une piscine ou un terrain piscinable. C’est ce type de bien que nous avons le plus vendu ces deux dernières années.

Les biens les plus prisés et affichés à un juste prix trouvent preneurs dans un délai maximal de deux mois. S’ils sont surestimés, ils peuvent toutefois rester jusqu’à un an et demi sur le marché.

Je suis très optimiste car l’agence est implantée dans un secteur porteur. De plus, après une très belle année 2021, les transactions sont nombreuses depuis janvier.

L’agence est implantée au Plan-de-la-Tour depuis 2000. Nous disposons en tout de trois agences. Deux dans le village et une à Sainte-Maxime sur le littoral varois.