« Le cœur du Var, une réelle alternative au bord de mer »
Le cœur du Var offre à la fois une qualité de vie remarquable et des prix attractifs. Les acheteurs ne s’y sont pas trompés. Ils sont de plus en plus nombreux à quitter le bord de mer pour s’installer dans des petits villages comme celui du Cannet-des-Maures. Des précisions avec Pascal Luzet, Directeur de Laforêt Immobilier.
Pourriez-vous dresser le portrait-robot de vos clients ?
Dans le cœur du Var, nous recevons principalement des actifs en provenance du département et des Alpes-Maritimes. Nous recevons également quelques acheteurs venus d’autres régions, comme l’Île-de-France. Il s’agit aussi bien d’indépendants, que de commerçants ou encore de militaires. Enfin, beaucoup de retraités de longue date ou fraîchement libérés de leurs obligations professionnelles s’intéressent aussi à notre secteur.
3 961 €/m²
C’est le prix immobilier moyen dans le département du Var.
Comment expliquez-vous l'attractivité de l'arrière-pays varois ?
Tout d’abord, les prix sont moins élevés qu’en bord de mer. Pour les acheteurs, c’est l’occasion de vivre dans le sud de la France à des conditions financières acceptables.
« Dans le cœur du Var, le profil des acquéreurs est très varié »
Pascal Luzet, directeur de Laforêt Immobilier.
Quels biens à quels prix sur le marché cannetois ?
Une maison avec 3 chambres se vend, par exemple, entre 250 000 et 450 000 €. Par ailleurs, nous disposons d'une offre plus large d’appartements, de résidences et de maisons individuelles avec extérieur. De ce point de vue, la côte fait face à une forte pénurie de biens. Les acheteurs ont donc tendance à se reporter dans les terres pour acquérir un logement. Pour ce faire, ils disposent d’un budget moyen entre 250 000 et 450 000 €.
3 074 €/m²
En moyenne, c’est le prix de l’immobilier au Cannet-des-Maures.
Quels sont les délais de vente ?
Dans le Var, le délai de vente moyen s’établit à environ 1 mois. Il faut évidemment que le bien soit proposé au prix du marché et qu’il corresponde à la demande. Néanmoins, il est possible que cette situation évolue dans les prochains mois. La hausse des taux d’emprunt pourrait pousser les acheteurs à davantage questionner leur achat.