La crise sanitaire a eu pour effet de considérablement ralentir les prises de décisions de projets de vente. Elle a instauré une atmosphère de doute et provoqué d’intenses réflexions sur l’avenir, ce qui explique en partie le manque de biens à vendre sur le marché aujourd’hui. Pour que le marché se porte mieux dans un avenir proche, il est nécessaire que le flux des biens augmente progressivement. Les banques ont également leur rôle à jouer et doivent continuer à maintenir les taux actuels afin de continuer à soutenir l’activité immobilière.

Oui, les prix de l’immobilier sont en pleine progression, notamment sur le marché spécifique des villas dans l’ancien. Ces biens sont très recherchés et se font de plus en plus rares de nos jours.

Les prix oscillent pour ce type de bien entre 250 000 et 350 000 €, soit le cœur de cible de nos clients. Aujourd’hui pour un studio, un T1 ou T2 dans l’ancien, les prix se situent dans une fourchette de 75 000 à 120 000 €. Dans le semi-récent par contre, un T2 peut se négocier jusqu’à 150 000 € pour une superficie d’environ 45 m². Pour l’ensemble des autres logements à la superficie plus importante, les prix sont très variables. Beaucoup de facteurs interviennent et expliquent des écarts parfois importants : l’environnement, les prestations et l’ensoleillement notamment.

Non, il n’est plus question de saisonnalité pour acheter ou pour vendre désormais. Aujourd’hui, le produit qui se présente au bon prix trouvera forcément preneur !