Ils sont très dynamiques depuis déjà plusieurs années, et la crise sanitaire a accentué ce phénomène. La demande ne fait que progresser sur les deux secteurs, tandis que l’offre diminue de plus en plus : nos stocks sont faibles et la tension immobilière s’accentue. Cela a entraîné une hausse des prix de l’ordre de 15 % sur les biens dotés d’un espace extérieur.

Nous faisons face à deux marchés distincts, puisqu’à Sanary, la demande est principalement orientée vers les résidences secondaires. À l’inverse d’Ollioules dans laquelle la demande est surtout tournée vers les résidences principales et les investissements locatifs.

Les acquéreurs qui recherchent à Sanary proviennent de toute la France, avec une forte proportion de Franciliens et de Lyonnais. À Ollioules, ils sont majoritairement locaux.

À Ollioules, il faut prévoir entre 60 000 et 110 000 € en moyenne. Ce budget est plus élevé à Sanary où le prix tourne autour de 100 000 à 180 000 €.

Tout à fait, car les prix sont élevés du littoral, à Bandol et Sanary notamment. Les acquéreurs dont le budget est modéré trouvent donc une alternative intéressante à Ollioules qui se situe à proximité et dont les prix sont plus abordables.

Le secteur est demandé, et de nombreuses personnes envisagent toujours de trouver un pied-à-terre ou de s’installer purement et simplement dans la région. Tout porte à croire que les marchés immobiliers de Sanary et Ollioules vont demeurer dynamiques et prendre de l’ampleur.