Il manque des pavillons sur le marché pour répondre à une demande croissante, et l’on commence donc à observer une carence. Dans le même ordre d’idée, nous manquons de stationnement, notamment dans les quartiers du centre-ville : les garages et les parkings sont devenus une denrée très rare.

Il s’agit de l’appartement incluant 2 chambres, car ce type de logement correspond à différents profils de locataires : aussi bien une personne seule qu’un couple avec un enfant et même des seniors à la retraite. Les studios sont également très demandés par une clientèle d’étudiants, mais ce type de bien se fait également de plus en plus rare sur le marché de la location.  

Nous observons essentiellement de plus en plus d’acteurs sur le marché : en 30 ans nous avons vu le nombre d’agences et de mandataires indépendants exploser, et la concentration de professionnels est importante pour une ville moyenne comme la nôtre. De plus, il n’y a presque plus de biens à vendre et les prix ont progressé car la rareté entraîne une augmentation des prix. Les secteurs les plus impactés sont ceux qui se situent à proximité des autoroutes, qui ont fait l’objet d’une forte demande de la part des citadins.

Nous avons observé une demande croissante pour les biens avec extérieurs, balcons, jardins ou terrasses.

Nous avons à faire à des profils variés : nous voyons aussi bien des jeunes couples, que des familles ou des seniors à la retraite.

Très légèrement, le télétravail impose un changement de vie, des projets de déménagement. Nous avons retrouvé des personnes originaires de la région, qui ont obtenu le télétravail et qui sont revenues s’installer ici.