La crise sanitaire n’a pas entravé le dynamisme du marché immobilier gradignanais, même si nous avons constaté un léger ralentissement après le deuxième déconfinement. Cela n’avait pas été le cas à l’issue du premier confinement où l’activité immobilière avait bien repris aux mois de juin et juillet. Les prix, quant à eux, restent stables pour le moment. 

Depuis le début de l’année, nous avons affaire à de nombreux Parisiens, essentiellement des familles souhaitant acheter sur le secteur. Cette demande fait majoritairement suite à des mutations professionnelles dans la région. Ils espèrent trouver un bien pour la prochaine rentrée scolaire de leurs enfants. Nous recevons également en agence de plus en plus de bordelais aspirant à davantage d’espace. Ils sont prêts à quitter Bordeaux pour avoir un jardin ou une terrasse, mais également une pièce pour télétravailler.

La ville de Gradignan est recherchée dans son ensemble pour son côté nature. Elle abrite de nombreux parcs et espaces verts. À 5 km au nord de Gradignan, Pessac est également une commune très prisée. Les acquéreurs apprécient ses multiples commodités, sa gare SNCF ainsi que son excellente desserte par le tramway bordelais. À l’est de Pessac, Talence est, quant à elle, plébiscitée par les acquéreurs pour la présence de son campus universitaire et sa bonne desserte en transports en commun.

Il est difficile de donner un délai moyen de vente mais, en règle générale, ils sont très rapides. Un logement affiché à un juste prix se vend en moins de 30 jours sur le secteur.