Nous sommes face à un marché très tendu. La demande immobilière est particulièrement importante et l’offre de biens disponibles à la vente manque cruellement.

Tout à fait, nous constatons une hausse des pros sues les maison individuelles et les petits immeubles collectifs. A ce sujet le prix moyen de  nos vente est passé de 235 000 à 290 000 € en une année.

Les logements partent très rapidement, notamment ceux pourvus d’un espace extérieur. Actuellement, il faut prévoir un délai moyen de 72 jours pour vendre un bien dans le secteur. À titre de comparaison, ce délai était de 90 jours il y a peu. En parallèle, les délais entre la signature de l’avant-contrat de vente et celle de l’acte authentique de vente se sont rallongés.

Les acquéreurs privilégient la proximité du bord de mer. Ils apprécient également les zones vertes de l’arrondissement situées en périphérie du centre, plus urbain. Depuis la crise sanitaire, les acheteurs recherchent un environnement verdoyant et aéré.

Il est tout aussi dynamique que celui de la transaction, mais la hausse des loyers est difficilement mesurable en raison du plafonnement du loyer entre deux locations. La demande locative est important sur les grandes surfaces, prisées par une clientèle extérieure qui peut télétravailler. Ces derniers louent dans un premier temps pour acheter ensuite.

Nous sommes très confiants, car les acquéreurs sont présents. Nous espérons juste pouvoir proposer davantage de biens à la vente dans les mois à venir.