David Salabert – Depuis le début de la crise sanitaire, la demande immobilière a augmenté dans la ville et ses alentours, même si le secteur a toujours été attractif. Nous sommes réellement à flux tendu en ce moment, d’autant plus que l’offre de biens disponibles à la vente a tendance à se raréfier.

Avant le premier déconfinement, nous avions essentiellement affaire à des acquéreurs provenant de Toulon et de sa métropole. Depuis, notre clientèle s’est élargie et vient des quatre coins du pays.

Le secteur a l’avantage d’être situé à 30 minutes de Toulon en voiture, ce qui est idéal lorsque l’on travaille dans la préfecture du Var. Les villes situées sur l’axe routier Brignoles-Toulon sont très prisées. C’est le cas de Rocbaron, Forcalqueiret ou encore Néoules. Notre rayon d’actions nous amène à travailler sur des villages comme Besse sur Issole. Nous avons créé une équipe de commerciaux sur le secteur de Vidauban et ses environs.

La demande immobilière est particulièrement importante sur les terrains à bâtir. Ces derniers deviennent néanmoins très rares à la vente sur le secteur, car les maires bloquent les permis de construire pour conserver leur nombre d’habitants.

Dès lors qu’un bien est affiché à un juste prix, il se vend en moins d’un mois. Les délais sont encore plus rapides pour les terrains à bâtir qui trouvent preneurs en une semaine avant même la parution de l’annonce.

Il est conseillé d’aller regarder chaque jour sur des sites spécialisés comme Logic-Immo si de nouveaux biens sont mis à la vente. Il ne faut pas hésiter à contacter l’agence immobilière si un logement semble correspondre à la recherche.