Elle se maintient à un niveau élevé. Nous faisons plutôt face à une pénurie de l’offre. Les mises en vente sur l’aire urbaine toulousaine ont diminué de 24 % entre le 1^er trimestre 2020 et le 1^er trimestre 2021. La baisse des mises en vente est liée aux difficultés que nous rencontrons dans l’obtention des permis de construire.

Sur le premier trimestre 2021, notre clientèle se compose à 62 % d’investisseurs et 38 % de propriétaires occupants. Ces clients à la recherche de leur résidence principale augmentent, car ils peuvent, sous conditions, bénéficier de prix maîtrisés. Cela est favorable aux jeunes primo-accédants qui sont de retour sur le marché neuf toulousain ces dernières années.

Concernant l’accession à la propriété, nous attirons principalement des acheteurs locaux. Pour l’investissement locatif, notre clientèle est plus diversifiée. Toulouse Métropole offre des prix plus abordables que d’autres métropoles comme Bordeaux ou Montpellier. De plus, Toulouse est une ville dynamique économiquement. Cela attire des investisseurs de toute la France.

Toutes les villes situées en zone B1 – qui regroupe Toulouse et sa première couronne – sont très recherchées par les investisseurs.

L’emplacement est le critère premier des accédants comme des investisseurs. La qualité de l’architecture et des plans des appartements, mais aussi le prix sont également des critères importants. Enfin, la conjoncture actuelle a rendu les intentionnistes immobiliers davantage sensibles à la démarche RSE des promoteurs, un sujet sur lequel nous portons nos efforts.

C’est fort probable, car le coût du foncier, de plus en plus rare, ne cesse d’augmenter avec par ailleurs une offre qui diminue.