Robert Pomsar - Les prix de l’immobilier sont très élevés sur ce secteur de la ville. Il ne cesse de gagner en attractivité. Depuis le début de la crise sanitaire, la demande est encore plus forte et nous avons très peu de biens à la vente ce qui crée une forte tension sur le marché. Les maisons partent très rapidement comme les appartements offrant de belles vues sur le massif des calanques et la mer Méditerranée.

Les acquéreurs privilégient les quartiers de la Vieille-Chapelle, de la Pointe rouge et de Saint-Anne. Ils apprécient d’être proches du littoral et du parc Borély, l’un des espaces verts les plus fréquentés de Marseille.

Les délais de vente sont très courts. Un logement affiché à un prix de vente cohérent trouve preneur en moins d’une semaine.

Il est conseillé de valider son budget et définir ses critères de recherche en amont. Dans un marché en forte tension, l’idéal est de confier sa recherche à une agence immobilière. Cela permet d’être au courant de belles affaires et de pouvoir se positionner rapidement.

C’est difficile à dire car le contexte est incertain. La crise sanitaire nous a retiré une bonne partie de notre clientèle. Il est devenu plus compliqué pour les primo-accédants d’accéder à l’emprunt. De plus, les banques ont durci leurs conditions d’emprunt vis-à-vis des personnes travaillant dans des secteurs particulièrement touchés par la crise comme la restauration ou le tourisme. Il faut tout de même rester optimistes car cela reste un marché porteur.