Nous couvrons l’ensemble de l’Alsace avec mon associé. Nous faisons partie d’un réseau national d’une cinquantaine d’agences en France.

Tout va dépendre des biens. Nous avons des demandes de la part des locaux, déjà installés en Alsace, mais également de la part d’acheteurs venant d’autres régions de France. Ainsi, par exemple, la clientèle parisienne demeure constante. Les frontaliers, notamment suisses, sont également très présents sur la partie sud de l’Alsace. Enfin, nous recevons régulièrement des demandes de clients internationaux. Nous vendons ainsi aux Luxembourgeois ou aux Allemands, par exemple. Nous avons même déjà eu des contacts avec des Australiens.

Notre clientèle se compose d’acheteurs appartenant à une catégorie socio-professionnelle supérieure et déjà propriétaires pour la plupart. Nous recevons ainsi peu de primo-accédants. Par conséquent, nos clients sont en général moins impactés par la crise sanitaire. Par contre, il est vrai que la crise sanitaire a modifié en profondeur les critères des acquéreurs. Il y a aujourd’hui un intérêt très prononcé pour les maisons, surtout celles disposant d’un extérieur verdoyant. Les résidences secondaires sont également beaucoup plus demandées. 

Avant la crise sanitaire, les prix de l’immobilier en Alsace étaient à la hausse. Cette tendance s’est poursuivie. La baisse attendue n’a absolument pas eu lieu, notamment parce que la demande reste forte. Par ailleurs, nous vendons des biens atypiques dont les prix sont toujours élevés et varient très rarement à la baisse.