« À Juan-les-Pins, c’est le bon moment pour vendre son logement »
Sur la Côte d’Azur, le marché immobilier est toujours aussi flamboyant, et la crise sanitaire n’a fait que renforcer l’attractivité de certaines communes comme Juan-les-Pins. Découvrons avec Laurent Noiret, gérant de Tanit Immobilier, les grandes tendances de cette commune.
Pourriez-vous nous décrire votre zone d’intervention ?
Nous sommes situés à l’angle du boulevard Wilson et du chemin du Tanit. Nous réalisons des transactions, des locations et de la gestion locative dans le bas du boulevard Wilson, dans les quartiers Rostagne, Pinède et Saramartel, la Badine, la Colle, et le front de mer de Juan-les-Pins.
« La Rostagne et Saramartel sont des quartiers les plus prisés de Juan-les-Pins »
Laurent Noiret, gérant de Tanit Immobilier
Quelles sont les caractéristiques du marché immobilier de Juan-les-Pins ?
Il est tout d’abord très dynamique. 2021 a été la meilleure année de notre agence depuis son ouverture. Nous réalisons en moyenne 100 ventes par an. La demande est aujourd’hui très forte et les vendeurs ont très clairement l’avantage sur les acquéreurs.
2 à 3 mois
C’est le délai de vente moyen d’un bien immobilier à Juan-les-Pins.
Quels sont les quartiers les plus prisés de Juan-les-Pins ?
Il s’agit de La Rostagne, Pinède et Saramartel.
Pourquoi ces quartiers ?
Sur ce secteur, les acquéreurs recherchent, dans la grande majorité des cas, des résidences, au calme et verdoyantes tout en restant à quelques minutes à pied du centre-ville. Ils veulent pouvoir profiter des plages de sable, des commerces, des transports, mais également des restaurants et des animations culturelles proposées par la ville.
130 000 à 150 000 €
C’est le prix moyen d’un studio à Juan-les-Pins.
Quels types d’acheteurs recevez-vous dans votre agence ?
Il n’y a pas de profil particulier. Nous travaillons aussi bien avec des investisseurs, qu’avec des acheteurs pour de la résidence principale ou secondaire. Nous avons une forte demande de clients retraités venant de grandes métropoles françaises et étrangères comme Paris, Lyon, Grenoble, Nantes, Bordeaux, Strasbourg, Lille, Nice, Oslo, Stockholm, Bruxelles, Londres, ou encore Genève. Ils souhaitent un bien en semi-secondaire pour y vivre 6 mois de l’année.
