Dans le réseau, nous disposons de l’exclusivité sur Arcachon et Andernos-les-Bains. Ce dernier secteur comprend également les villes d’Audanges, Lanton, Andernos, Arès et Lège.

Oui, absolument. Je le qualifierais même de tendu, puisque nous disposons de plus de demandes que de biens à la vente. Cela a toujours été le cas. La pandémie a renforcé cette tendance et tous les quartiers d’Arcachon sont concernés. Depuis le premier déconfinement, le nombre d’acheteurs a explosé sur Arcachon. Cela a d’ailleurs profondément transformé notre métier. Auparavant, notre métier consistait à commercialiser un bien immobilier. Aujourd’hui, nous devons prendre en compte le cahier des charges du client et partir à la recherche de son logement potentiel.

Ils cherchent souvent sur Arcachon en première intention. Ils se rendent néanmoins vite compte que cela est très difficile et se reportent alors sur les communes avoisinantes comme Audenge, Biganos, ou encore Lanton. Cela est finalement très positif, car l’ensemble du bassin d’Arcachon mérite d’être reconnu aux yeux des acheteurs. Les villes sont très belles et offrent des opportunités immobilières intéressantes.

Notre clientèle se compose exclusivement d’acquéreurs provenant d’autres régions, en majorité des grandes villes telles que Bordeaux, Paris ou Lyon. Traditionnellement, nous sommes en effet un secteur privilégié pour les résidences secondaires. Cependant, depuis 2020, nous constatons une augmentation de la demande pour les résidences principales. Depuis la crise sanitaire, nous recevons en effet des acheteurs qui souhaitent changer de vie. Cette prise de conscience les pousse vers des biens disposant d’un extérieur dans les campagnes.

Nous avons, depuis très longtemps, une forte demande de location sur l’ensemble du bassin. Comme beaucoup de stations balnéaires, Arcachon connaît une pénurie de biens à louer, les bailleurs préférant la location saisonnière plus rentable.